Laurent elias sera donc bien le nouvel entraineur de l'équipe de france de cso pour 2008.
Gilles Bertran de Balanda démissionnaire, Laurent Elias, nouveau sélectionneur tricolore, par intérim. Au milieu du gué, jusqu’au CSIW de Bordeaux.
Faut-il y voir un signe avant-coureur ? Il y a deux ans, jour pour jour, Gilles Bertran de Balanda, qui vient de donner sa démission (1), étrennait, au Jump de Nantes (29 janvier - 1er février), ses galons d’entraîneur national. Laurent Elias, son fidèle adjoint, devrait en prendre le même chemin.L’intéressé s’en défend, prétextant qu’il n’a, pour l’heure, « aucun contrat sous les yeux. » Au milieu du gué, droit dans ses bottes d’intérimaire, il précise. « Je me suis toujours investi, avec bonheur, dans les projets nationaux qui ont pu m’être confiés. J’en ferai de même, si les aspirations des dirigeants de la Fédération collent aux miennes. »Mais, pour l’heure, seul compte, à ses yeux, la mise sur pied de la sélection pour le CSIW de Bordeaux (5 - 8 février) et du Jump de Nantes. « Du très lourd. » Il égrenne les premiers noms couchés sur son pense-bête : K. Staut (22e), R-Y. Bost (25e), Pénélope Leprévost (39e), T. Anciaume (57e), N. Delmotte (77e), M. Hécart (99e). « Eh oui ! Tous figurent dans les 100 premiers au classement mondial. » Il y ajoute : Eugénie et Florian Angot, J. Hurel, H. Bourdy, S. Lafougue, le champion de France en titre, S. Delestre, O. Robert, J.M. Nicolas… Entretien:
Nantes ouvre la saison internationale 2009 en France. Votre sentiment ?"Nantes est un concours toujours très réussi et très bien organisé. Pour certains cavaliers, qui ont arrêté leurs chevaux durant les fêtes, c’est l’occasion de redémarrer la saison dans de bonnes conditions, avec une magnifique piste de qualité. C’est le concours qui permet à tous de se remettre dans le bain pour débuter la saison 2009 ".Le concours de Nantes permet-il à certains de préparer l’étape Coupe du monde de Bordeaux ? "Oui, il est sûr que le CSI*** de Nantes va permettre à certains cavaliers de se préparer pour l’étape Coupe du monde de Bordeaux. Un bon tremplin pour les Français, mais aussi pour les étrangers. Pour eux, il est plus intéressant de se déplacer en France pour deux concours."Comment abordez-vous l’étape Coupe du monde de Bordeaux ?"Le concours de Bordeaux est une étape légitime du circuit Coupe du monde, il s’agit d’ailleurs de la seule étape française. Il est convoité par les meilleurs cavaliers français, mais aussi par les meilleurs internationaux. C’est un concours où tous les plus grands noms se retrouvent. Du côté français la sélection va être difficile, car seulement dix cavaliers français peuvent y participer C’est aussi le concours où je vais réellement prendre mes nouvelles fonctions de sélectionneur. En ayant les meilleurs cavaliers « sous la main», je vais pouvoir discuter avec eux pour définir les objectifs de la saison 2009, et mettre en place un planning."
(1) Je voulais être le patron. Serge Lecomte, le président de la Fédération, et Pascal Dubois, le DTN, souhaitent dissocier aujourd’hui le métier d’entraîneur de celui de sélectionneur. « Un seul homme ne peut pas faire les deux », soulignent-ils. « En fait, répond Gilles Bertran de Balanda, « ils me demandaient d’’abandonner toute autorité finale sur les sélections, mais d’y participer éventuellement. Mais, je voulais être le patron, dans l’intérêt de tous ».
Faut-il y voir un signe avant-coureur ? Il y a deux ans, jour pour jour, Gilles Bertran de Balanda, qui vient de donner sa démission (1), étrennait, au Jump de Nantes (29 janvier - 1er février), ses galons d’entraîneur national. Laurent Elias, son fidèle adjoint, devrait en prendre le même chemin.L’intéressé s’en défend, prétextant qu’il n’a, pour l’heure, « aucun contrat sous les yeux. » Au milieu du gué, droit dans ses bottes d’intérimaire, il précise. « Je me suis toujours investi, avec bonheur, dans les projets nationaux qui ont pu m’être confiés. J’en ferai de même, si les aspirations des dirigeants de la Fédération collent aux miennes. »Mais, pour l’heure, seul compte, à ses yeux, la mise sur pied de la sélection pour le CSIW de Bordeaux (5 - 8 février) et du Jump de Nantes. « Du très lourd. » Il égrenne les premiers noms couchés sur son pense-bête : K. Staut (22e), R-Y. Bost (25e), Pénélope Leprévost (39e), T. Anciaume (57e), N. Delmotte (77e), M. Hécart (99e). « Eh oui ! Tous figurent dans les 100 premiers au classement mondial. » Il y ajoute : Eugénie et Florian Angot, J. Hurel, H. Bourdy, S. Lafougue, le champion de France en titre, S. Delestre, O. Robert, J.M. Nicolas… Entretien:
Nantes ouvre la saison internationale 2009 en France. Votre sentiment ?"Nantes est un concours toujours très réussi et très bien organisé. Pour certains cavaliers, qui ont arrêté leurs chevaux durant les fêtes, c’est l’occasion de redémarrer la saison dans de bonnes conditions, avec une magnifique piste de qualité. C’est le concours qui permet à tous de se remettre dans le bain pour débuter la saison 2009 ".Le concours de Nantes permet-il à certains de préparer l’étape Coupe du monde de Bordeaux ? "Oui, il est sûr que le CSI*** de Nantes va permettre à certains cavaliers de se préparer pour l’étape Coupe du monde de Bordeaux. Un bon tremplin pour les Français, mais aussi pour les étrangers. Pour eux, il est plus intéressant de se déplacer en France pour deux concours."Comment abordez-vous l’étape Coupe du monde de Bordeaux ?"Le concours de Bordeaux est une étape légitime du circuit Coupe du monde, il s’agit d’ailleurs de la seule étape française. Il est convoité par les meilleurs cavaliers français, mais aussi par les meilleurs internationaux. C’est un concours où tous les plus grands noms se retrouvent. Du côté français la sélection va être difficile, car seulement dix cavaliers français peuvent y participer C’est aussi le concours où je vais réellement prendre mes nouvelles fonctions de sélectionneur. En ayant les meilleurs cavaliers « sous la main», je vais pouvoir discuter avec eux pour définir les objectifs de la saison 2009, et mettre en place un planning."
(1) Je voulais être le patron. Serge Lecomte, le président de la Fédération, et Pascal Dubois, le DTN, souhaitent dissocier aujourd’hui le métier d’entraîneur de celui de sélectionneur. « Un seul homme ne peut pas faire les deux », soulignent-ils. « En fait, répond Gilles Bertran de Balanda, « ils me demandaient d’’abandonner toute autorité finale sur les sélections, mais d’y participer éventuellement. Mais, je voulais être le patron, dans l’intérêt de tous ».
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